Qui est le souffrant et le bien portant, le normal et le pathologique...?
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Qui est le souffrant et le bien portant, le normal et le pathologique...?
Sans faire de prose sur le sujet donné en pâture, je dirais sans l'ombre d'une hésiation que la limite est une limite floue. Où est la limite entre le souffrant, le bien portant et le pathologique comme je pourrais demander où se rtrouve la limite entre le normal, l'anormal ou le pathologique? Tout est question de normes... Ces normes nous sont imposées par la société, l'inconscient collectif et nos propres perceptions. Cet amalgame donne d'office des limites qui ne sont pas identiques pour tous.
J'en conviens, il faut bien des normes, des repères mais je crois qu'on ne doit pas focaliser sur ceux-ci. Je crois qu'il faut accepter que nos normes ne collent pas tout à fait à celles de l'autres. Cela devrait nous obliger à adopter une plus grande tolérance... N'est ce pas là un critère de notre travail ?
Voilà en condensé ce que j'en pense... Merci à vous de réagir!
J'en conviens, il faut bien des normes, des repères mais je crois qu'on ne doit pas focaliser sur ceux-ci. Je crois qu'il faut accepter que nos normes ne collent pas tout à fait à celles de l'autres. Cela devrait nous obliger à adopter une plus grande tolérance... N'est ce pas là un critère de notre travail ?
Voilà en condensé ce que j'en pense... Merci à vous de réagir!
Ber,nardin- Messages : 14
Date d'inscription : 19/04/2009
Age : 46
Localisation : Ixelles
Qui est le souffrant et le bien portant, le normal et le pathologique...?
Pourriez vous vous positionner par rapport au texte suivant... ? (sur base d'un post lesocial.fr forum éducateurs spécialisés)
..."parce que la souffrance est comme une étoile noire capable d'éteindre les révèrbères du Petit Prince, alors celui qui, avant d'entrer en formation pensait être solide et sûr de lui-même, découvre soudainement sa part obscure, ses violences refoulées, ses limites et son besoin d'aide. Il n'y a pas d'un côté le souffrant et de l'autre le bien portant, d'un côté le normal et de l'autre le pathologique, mais une sorte d'aspiration à confondre ce qui, de part et d'autre, se ressemble en dépit des différences. L'autre, c'est déjà moi. Aussi, le devenir éduc emprunte-t-il le chemin aride qui mène de soi à soi"...
..."parce que la souffrance est comme une étoile noire capable d'éteindre les révèrbères du Petit Prince, alors celui qui, avant d'entrer en formation pensait être solide et sûr de lui-même, découvre soudainement sa part obscure, ses violences refoulées, ses limites et son besoin d'aide. Il n'y a pas d'un côté le souffrant et de l'autre le bien portant, d'un côté le normal et de l'autre le pathologique, mais une sorte d'aspiration à confondre ce qui, de part et d'autre, se ressemble en dépit des différences. L'autre, c'est déjà moi. Aussi, le devenir éduc emprunte-t-il le chemin aride qui mène de soi à soi"...
extrait de : Lien social n°671, juin 2003 Devenir éduc. par Lucien Bargane
sur base d'un post lesocial.fr forum éducateurs spécialisésPage 1 sur 1
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